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vendredi 29 juillet 2011
REPORTAGE FRANCE 3
samedi 23 juillet 2011
INAUGURATION DU PINK BOAT AU BOURGET
mardi 19 juillet 2011
VENDREDI 22 JUILLET, 3 jours de rames
L’hypoglycémie : qu’est-ce que c’est?
Du point de vue de la médecine, les 3 critères suivants doivent être réunis chez un individu pour pouvoir affirmer qu’il est atteint d’hypoglycémie réactionnelle :
- des baisses d’énergie subites accompagnées de nervosité, de tremblements, d’une faim impérieuse ou d’autres symptômes (voir la section Symptômes);
- une glycémie, ou « taux de sucre » dans le sang, inférieure à 3,5 millimoles par litre (mmol/l) au moment où les symptômes surviennent;
- la disparition des malaises après avoir pris du sucre, comme un bonbon ou un jus de fruits.
Ces critères ont été établis dans les années 1930 par un chirurgien américain qui s’intéressait aux troubles du pancréas, le Dr Allen Whipple. Ils portent d’ailleurs le nom de triade de Whipple.
L’hypoglycémie réactionnelle est un sujet controversé. Plusieurs personnes considèrent souffrir d’hypoglycémie, mais ne répondent pas à tous ses critères. Par exemple, elles traversent régulièrement des moments de fatigue, de baisse d’énergie et de nervosité, mais leur glycémie demeure tout à fait normale. Ainsi, dans ces cas, le médecin ne peut conclure à de l’hypoglycémie.
On ne dispose d’aucune explication claire sur l’origine de ces « pseudo-hypoglycémies ». Un état de panique ou un excès de stress pourraient être en cause. Il se peut, en outre, que l’organisme de certaines personnes réagisse plus fortement à une baisse de glycémie.
En médecine, les « vraies » hypoglycémies - qui répondent aux 3 critères énoncés ci-haut - sont habituellement diagnostiquées chez des personnes atteintes d’intolérance au glucose (une étape préliminaire au diabète), de diabète ou d’une autre maladie du pancréas. Une chirurgie à l’estomac peut aussi causer une hypoglycémie, mais c’est plutôt rare.
Cela dit, qu’il s’agisse d’une hypoglycémie véritable ou d’une « pseudo-hypoglycémie », lessymptômes sont contrôlés et prévenus de la même façon, grâce notamment à divers changements dans les habitudes alimentaires (voir la section Prévention).
Mieux comprendre la glycémie Le glucose fournit aux organes leur principale source d’énergie. Il provient de la digestion dessucres contenus dans les aliments. On les appelle hydrates de carbone, carbohydrates ou glucides. Les desserts, les fruits et les produits céréaliers (riz, pâtes et pains) en regorgent. Une glycémie normale à jeun (c’est-à-dire après 8 heures sans manger), pour une personne non diabétique, se situe entre 3,5 mmol/l et 7,0 mmol/l. Après un repas, elle peut monter jusqu’à 7,8 mmol/l. Entre les repas, le corps doit veiller à ce qu’il y ait suffisamment de glucose en circulation dans le sang afin d’apporter une source d’énergie aux organes. C’est le foie qui fournit ce glucose, soit en le synthétisant, soit en libérant le glucose qu’il emmagasine sous forme de glycogène. Les muscles renferment aussi du glycogène, mais celui-ci ne peut servir à rétablir une glycémie trop basse. La glycémie est contrôlée par plusieurs hormones. L’insuline sécrétée après un repas fait baisser la glycémie, tandis que le glucagon, l’hormone de croissance, l’adrénaline et lecortisol la font monter. Toutes ces hormones sont finement ajustées pour que le taux de glucose circulant soit relativement constant, même en situation de jeûne. |
Qui est touché?
Les personnes qui souffrent d’hypoglycémie sont généralement des femmes dans la vingtaine ou la trentaine. Puisque cette affection n’est pas considérée comme une maladie, on ne possède pas de statistiques fiables sur le nombre de personnes atteintes.
Conséquences
La plupart du temps, l’hypoglycémie réactionnelle est légère et s’estompe spontanément ou après l’ingestion d’aliments qui fournissent du glucose à l’organisme. Il n’y a alors aucune conséquence grave.
Diagnostic
Une fois que la situation qui déclenche les symptômes est découverte, il se peut que le médecin demande au patient de mesurer sa glycémie avant et après une période symptomatique.
Les personnes qui ont à leur disposition un lecteur de glycémie (glucomètre) peuvent l’utiliser. Sinon, la prise de la glycémie se fait à l’aide d’un test sur papier buvard (Glucoval), offert dans certains laboratoires privés.
Si la glycémie est anormale, le médecin procède à un bilan de santé complet afin d’en trouver la cause. Lorsque le médecin soupçonne que la personne souffre d’une intolérance au glucose ou d’un diabète, d’autres tests de glycémie sont entrepris.
Symptômes de l’hypoglycémie
Les symptômes de l’hypoglycémie réactionnelle apparaissent le plus souvent de 3 à 4 heures après un repas.
- Une baisse d’énergie soudaine.
- De la nervosité, de l’irritabilité et des tremblements.
- Une pâleur du visage.
- Des sueurs.
- Un mal de tête.
- Des palpitations.
- Une faim impérieuse.
- Un état de faiblesse.
- Des étourdissements, de la somnolence.
- Une incapacité à se concentrer et un discours incohérent.
Lorsque la crise survient la nuit, elle peut provoquer :
- De l’insomnie.
- Des sueurs nocturnes.
- Des cauchemars.
- De la fatigue, de l’irritabilité et de la confusion au réveil.
Personnes à risque
Aucune catégorie de personnes ne semble plus particulièrement à risque.
Facteurs de risque
- L’alcool. L’alcool inhibe les mécanismes qui permettent de libérer du glucose à partir du foie. Il peut causer de l’hypoglycémie dans le cas de sujets à jeun souffrant de sous-alimentation.
- Une activité physique prolongée et trop intense.
Prévention de l’hypoglycémie
Pourquoi prévenir? |
L’hypoglycémie réactionnelle et la « pseudo-hypoglycémie » peuvent être liées à plusieurs facteurs qu’il est parfois difficile de déterminer. Néanmoins, les symptômes de bien des gens peuvent être prévenus grâce à l’adoption d’un mode de vie équilibré qui repose sur unealimentation variée et saine, une bonne gestion du stress et la pratique régulière d’exercice physique. Ces mesures ont, naturellement, le grand avantage d’améliorer la santé de manière globale.
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Mesures préventives de base |
Une alimentation saine L’alimentation est l’élément le plus important pour prévenir les crises d’hypoglycémie. Voyez les conseils énoncés plus loin. De l’activité physique Faites de l’exercice régulièrement, mais de façon modérée, en évitant les exercices violents et intenses. L’exercice améliore le fonctionnement des hormones qui contrôlent la glycémie. Une bonne gestion du stress Apprenez à gérer votre stress, c’est-à-dire à en trouver l’origine et à trouver des solutions pour vous sentir plus en contrôle (réorganiser votre horaire, prévoir les repas de la semaine, etc.). Pratiquer régulièrement certaines formes de détente, comme des exercices de relaxation (respiration profonde, détente musculaire progressive, etc.), aide aussi à évacuer le stress. On remarque parfois que les crises d’hypoglycémie ont tendance à se faire plus rares ou à disparaître carrément durant les vacances. |
Traitements médicaux de l’hypoglycémie
En cas de symptômes d’hypoglycémie, il peut être utile de consulter un médecin afin d’obtenir unbilan de santé.
Les hypoglycémies causées par d’autres maladies sont généralement réglées en soignant les causes : par l’ablation de la tumeur en cas d’insulinome (tumeur du pancréas), par un changement de médication, etc.
La majorité des hypoglycémies se soignent par une réorganisation de la diète. La consultation d’un nutritionniste peut être utile.
Alimentation : la base du traitement
L’objectif est de stabiliser la glycémie. Ainsi, on prévient les baisses soudaines d’énergie.
Voici quelques recommandations :
- Prendre 3 repas par jour, selon un horaire régulier.
- Prendre une collation entre les repas.
- Limiter la consommation d’aliments riches en sucres concentrés ou « rapides » : gâteaux et biscuits du commerce, crème glacée, confitures, fruits séchés (seuls), etc.
- Manger suffisamment de fibres alimentaires (de 25 g à 38 g par jour).
- Éviter de boire de l’alcool à jeun. Un verre d’alcool en mangeant est habituellement bien toléré.
- Limiter le café et les autres boissons qui contiennent de la caféine, car ils abaissent la glycémie.
En cas de pseudo-hypoglycémie : s’asseoir, puis manger une source de sucre, par exemple un fruit, un morceau de pain ou un muffin maison.Que faire en cas de crise d’hypoglycémie
- En cas d’hypoglycémie véritable, qui répond aux 3 critères énoncés au début de la fiche : s’asseoir, puis manger une source de sucre concentré, par exemple un jus de fruits ou unbonbon.
- Dans tous les cas, il est bon de prendre une collation protéinée une vingtaine de minutes plus tard, comme un morceau de fromage ou quelques noix.
L’opinion de médecin
Au cours de ma carrière médicale (de bientôt 30 ans), j’ai vu en consultation plusieurs personnes qui se croyaient atteintes d’hypoglycémie. Durant les années 80, on croyait que l’hypoglycémie réactionnelle était relativement fréquente et expliquait cette kyrielle de symptômes. Puis, une petite recherche6 réalisée par une équipe d’endocrinologues de l’Hôpital St-Luc de Montréal a mis un bémol à tout cela. Cette étude, menée sur un groupe de patients soigneusement sélectionné, a notamment fait la démonstration que la majorité des gens ont une glycémie normale au moment des symptômes. Le corps humain résiste remarquablement bien au jeûne. Il s’y adapte. Même les grévistes de la faim et les personnes qui souffrent de malnutrition grave dans les pays en voie de développement ne font pas d’hypoglycémie... Ainsi, les personnes en bonne santé ne présentent que très rarement une hypoglycémie. Il faut donc trouver ailleurs une explication aux symptômes. Souvent, on peut détecter un trouble panique qui n’avait pas encore été diagnostiqué, ou encore une réaction métabolique anormale (avec une glycémie normale). Les recherches doivent continuer. Par ailleurs, la majorité des patients « hypoglycémiques » répondent vraiment très bien à la diète qui est expliquée sur PasseportSanté.net. Donc s’il y a des symptômes compatibles et que le bilan médical est normal, il vaut tout de même la peine de réviser sa diète, qui du reste n’a que des effets bénéfiques.
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L' hypoglycémie est la baisse du taux de sucre dans le sang en dessous de la normale. Tout sportif peut ressentir une hypoglycemie lors d'un effort prolongé.
Symptômes
Le cerveau ne peut manquer ni d'oxygène, ni de glucose. Si le taux de sucre dans le sang devient trop bas, le cerveau déclenche une réaction qu'on appelle « adrénergique ». On pourra ressentir alors les symptômes suivants : palpitations, nervosité, agressivité, chaleurs, transpiration et tremblements. D'autres types de malaises peuvent apparaitre comme la difficulté à se concentrer ou à s'exprimer, une vision embrouillée ou des étourdissements.
Les conséquences sont néfastes sur la performance physique. C'est ce qu'on appelle la « fringale », ce besoin d'énergie qui coupe les jambes si l'on n'y remédie pas immédiatement.
L'hypoglycémie résulte en général d'une mauvaise gestion de l'alimentation avant et pendant l'effort.
Circonstances
L'hypoglycémie chez le sportif survient surtout en 2 circonstances
Tout d'abord au début de l'exercice, par l'ingestion de sucres juste avant, le corps étant à jeun depuis plusieurs heures.
La glycémie augmente rapidement et l'organisme en réaction, sécrète de l'insuline qui fait chuter le taux de sucre, parfois de façon trop importante. C'est l' hypoglycémie réactionnelle.
Par exemple, si un produit très sucré est ingéré une heure avant l'exercice, l' hypoglycémie survient 30 minutes après le début de l'exercice.
L'hypoglycémie peut également survenir en fin d'exercice lorsque les réserves en glycogène (muscles et foie) sont épuisées et que le muscle utilise le glucose du sang
Ce type d'hypoglycémie survient lorsque les réserves en glycogène n'ont pas suffisamment été fournies dans l'alimentation des jours et des heures qui précèdent, ou que les apports glucidiques ont été insuffisants pendant l'épreuve
Eviter ou mieux gérer l'hypoglycémie
L'hypoglycémie est assez simple à reconnaître. Elle se manifeste par une hypersudation, des tremblements, une sensation de faim presque douloureuse (comme une crampe à l'estomac), une accélération de la fréquence cardiaque. A l'extrême, une hypoglycémie peut provoquer une perte de connaissance quand elle n'est pas corrigée
Lorsqu'elle apparait, il faut ralentir l'allure ou l'intensité de l'exercice, et ingérer des boissons riches en glucose ou des sucres tous les quarts d'heures
Un défaut à éviter est de ne rien prendre pendant l'effort (sauter les ravitaillements ), ou partir trop vite
Si l'effort doit durer plus de 1 heure, il faut prendre au bout de 15 à 20 minutes un peu de boisson sucrée et renouveler toutes les 15 à 20 minutes pour éviter cette fringale. Ainsi pour éviter tout ceci, et grâce à la montre polar, on aura une vue précise sur les zones cibles en cardio, on aura aussi la dépenses énergétiques précises qui permettra par la suite d' élaborer très exactement avec notre diététicien le régime alimentaire.
samedi 16 juillet 2011
LE RAMEUR
Les muscles les plus sollicités sont les biceps et les triceps au moment où vous ramez avec vos bras. Mais vos biceps et triceps seuls n’y arriveront jamais, vos épaules et votre dos (notamment les lombaires) contribuent aussi à réaliser le mouvement que vous exécutez. Pour les jambes, vos cuisses, vos muscles fessiers et vos mollets seront mis à rude épreuve.
Poussez sur les pédales nécessitent une force assez conséquente, surtout si la résistance est réglée sur difficile.
La synchronisation des mouvements des membres supérieurs et inférieurs se fait avec la participation des muscles abdominaux.
Mais le plus important pendant la pratique du rameur vient du fait que vous renforcez votre système cardio-vasculaire et que vous augmentez vos capacités pulmonaires. En tout, cet appareil de fitness révolutionnaire fait travailler plus de 80 % de vos muscles.
vendredi 15 juillet 2011
Présentation du "Pink Boat" IN BOURGET
L'évolution chronique de la tendinite de l'épaule est causée d'une part par la répétition des gestes (généralement l'élévation du bras) provoquant le frottement du tendon, d'autre part par la mauvaise irrigation sanguine du tendon à cet endroit, qui rend sa réparation moins efficace. Certains pensent même que cette tendinite est en fait une dégénérescence "normale" du tendon avec l'âge.
Ce phénomène explique la médiocre efficacité des anti-inflammatoires pris par voie générale: la concentration locale des produits arrivant par voie sanguine n'est pas bonne.
La tendinite chronique à l'épaule n'est pas toujours très douloureuse. Ce peut être une vague gêne dans certaines positions, émaillée de douleurs plus franches après des efforts répétitifs mais encore très supportables et n'obligeant pas forcément à consulter un médecin.
C'est ainsi que de nombreuses personnes de la cinquantaine et au-delà ont des tendons déjà très fragilisés, sans s'être beaucoup plaintes jusque-là. Il n'est pas exceptionnel que la tendinite se révèle alors par une rupture brutale, en apparence spontanée, en fait déclenchée par un effort anodin sur un tendon très aminci